139, Rue des Guillemins CP 4000, Liège - Belgique


Lexique :

 

 

 

Taux de CO2 :

Le dioxyde de carbone (CO2) est un gaz naturellement émis par les êtres vivants lors de la respiration. Cependant, une accumulation excessive de CO2 dans l’air intérieur peut entraîner des maux de tête, des irritations de la gorge, ainsi que des problèmes de concentration et de mémoire, entre autres symptômes. Un taux de CO2 supérieur à 800 ppm (parties par million) est considéré comme alarmant. Il est donc essentiel de surveiller la qualité de l’air intérieur pour éviter une accumulation excessive de CO2.

Taux d’humidité :

Le taux d’humidité idéal dans un logement se situe entre 40 et 60%. Pour une chambre à coucher, une humidité de 40 à 50% est préférable. Le taux d’humidité représente la quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air par rapport à la quantité maximale possible. Il est exprimé en pourcentage, allant de 0% (air sec) à 100% (air saturé en humidité). Trop d’humidité ou un manque d’humidité sont tous deux nuisibles pour la santé. Un équilibre adéquat entre humidité et température contribue à maintenir un air sain et pur.

Taux de COV :

Les COV (composés organiques volatils) sont un mélange de gaz et d’odeurs émis par de nombreux produits toxiques et produits chimiques présents dans notre vie quotidienne. Les COV peuvent avoir des effets graves sur la santé, tant à court terme qu’à long terme. Les effets peuvent aller d’une irritation mineure des yeux, du nez et de la gorge à des dommages hépatiques, rénaux ou même au développement de cancers, selon le niveau d’exposition et le taux de COV présent dans l’environnement.

Pour réduire l’exposition aux COV, il est recommandé de maintenir une bonne ventilation dans les espaces intérieurs, d’utiliser des produits ménagers et des matériaux de construction à faible teneur en COV, et de limiter l’utilisation de produits chimiques volatils. Il est également essentiel de surveiller régulièrement la qualité de l’air intérieur pour détecter les niveaux élevés de COV et prendre les mesures appropriées pour les réduire.

La température :

La température a un impact sur la qualité de l’air. Lorsque l’air est chaud, il entraîne la dispersion des polluants. L’air près du sol est généralement plus chaud que l’air en altitude, ce qui favorise la convection et le mélange de l’air, permettant ainsi la dispersion des polluants tels que la fumée.

Cependant, il peut arriver qu’une inversion de température se produise, où une couche d’air chaud empêche l’air froid de s’élever. Cela entraîne le piégeage des polluants près du sol. Lorsque l’air contient une quantité élevée de polluants, il peut devenir sale et dangereux pour notre santé. Cela peut entraîner des gênes respiratoires et des maladies, d’autant plus que les combustibles et les activités de cuisson contribuent à enrichir l’air en substances qui rendent la respiration difficile.

Pour prévenir les effets néfastes de la température sur la qualité de l’air, il est important de mettre en œuvre des mesures de contrôle des émissions polluantes, de favoriser la ventilation et la circulation de l’air, et de réduire notre dépendance aux combustibles fossiles. De plus, il est essentiel de surveiller régulièrement la qualité de l’air et de prendre des mesures pour réduire les niveaux de pollution lorsque cela est nécessaire.

Les PPM :

Les PPM (parties par million) sont une unité de mesure utilisée pour exprimer de très petites quantités. Cette unité est particulièrement utile pour mesurer des substances présentes en faible concentration, telles que les polluants dans l’air.

Les PPM permettent de quantifier avec précision la proportion d’un composé spécifique par rapport au volume total d’un mélange ou à la quantité totale d’une substance. Par exemple, un taux de 1 ppm signifie qu’il y a une partie du composé pour un million de parties du mélange ou de la substance.

L’utilisation des PPM est courante dans les études sur la qualité de l’air pour évaluer les niveaux de polluants tels que le dioxyde de carbone, les oxydes d’azote (NOx), les particules fines (PM2.5, PM10), les composés organiques volatils (COV) et bien d’autres. Ces mesures précises sont essentielles pour évaluer les impacts sur la santé humaine.

Le taux des PM1 :

Les PM1 désignent les particules fines d’un diamètre inférieur à 1 micron. Un micron correspond à un millième de millimètre. Les particules fines sont de petites poussières ou gouttelettes provenant de sources telles que la fumée, les véhicules et les usines. Elles sont si minuscules qu’elles restent en suspension dans l’air et sont invisibles à l’œil nu. Cependant, lorsque nous les inhalons, ces particules peuvent pénétrer dans nos poumons, voire même dans notre circulation sanguine, ce qui peut avoir un impact sur notre santé.

Il est crucial de surveiller les niveaux de PM1 dans l’air afin de comprendre leur concentration et de prendre des mesures appropriées pour réduire leur présence. L’exposition prolongée à des niveaux élevés de PM1 peut provoquer des problèmes respiratoires, des irritations des voies respiratoires, des maladies cardiovasculaires etc…

Le taux des PM 2.5 :

Les PM2.5 désignent les particules fines d’un diamètre inférieur à 2,5 microns. Ces particules sont de petites poussières ou gouttelettes qui proviennent de diverses sources telles que la combustion des combustibles fossiles, les feux de biomasse, les activités industrielles et le transport routier. Elles sont présentes dans notre air intérieur et peuvent avoir de graves conséquences sur la santé.

L’inhalation de particules PM2.5 peut entraîner des inflammations des voies respiratoires, des infections respiratoires, des maladies cardiovasculaires, des cancers du poumon et des accidents vasculaires cérébraux. En raison de leur petite taille, ces particules peuvent pénétrer profondément dans nos poumons et même atteindre notre circulation sanguine, causant ainsi des dommages à long terme pour notre santé.

Il est essentiel de surveiller régulièrement les niveaux de PM2.5 dans l’air et de prendre des mesures pour réduire leur présence. Cela peut inclure l’utilisation de filtres à air de haute qualité, la ventilation adéquate des espaces intérieurs, la réduction des émissions de sources polluantes et l’adoption de pratiques durables dans les secteurs industriels. La sensibilisation du public à l’importance de la qualité de l’air et à l’adoption de comportements responsables est également primordiale pour prévenir les effets néfastes des PM2.5 sur la santé.

Les PPB :

Les PPB (parties par milliard) sont une unité de mesure utilisée pour exprimer des quantités extrêmement petites. Cette unité est couramment utilisée pour mesurer des substances présentes en très faible concentration, telles que les polluants dans l’air. Les PPB permettent de quantifier avec précision la proportion d’une substance spécifique par rapport à un milliard d’unités de la substance environnante.

Par exemple, si l’on dit que l’air contient 10 ppb d’ozone, cela signifie qu’il y a 10 molécules d’ozone pour chaque milliard de molécules d’air. Cette mesure précise est essentielle pour évaluer les niveaux de polluants atmosphériques tels que les oxydes d’azote, les particules fines, les composés organiques volatils et bien d’autres.

Les PPB sont largement utilisés dans les études sur la qualité de l’air, la surveillance environnementale et la recherche sur les effets des polluants sur la santé humaine et l’écosystème. Ces mesures détaillées permettent de mieux comprendre l’impact des polluants, de mettre en place des réglementations appropriées et de prendre des mesures pour réduire leur présence et minimiser leurs effets néfastes.

La DBA :

La DBA (décibel A) est une unité de mesure du son. Le son est une vibration de l’air qui est perçue par nos oreilles et nous permet d’entendre. Le décibel A quantifie l’intensité du son, c’est-à-dire s’il est fort ou faible. Plus le nombre de décibels A est élevé, plus le son est intense.

Par exemple, le bruit d’une feuille qui tombe est d’environ 10 DBA, celui d’une conversation normale est d’environ 60 DBA, celui des élèves dans une classe avoisine les 45 DBA et le bruit d’un avion décollant atteint environ 120 DBA.

La mesure du niveau sonore en DBA est importante pour évaluer les impacts du bruit sur la santé et le bien-être. Une exposition prolongée à des niveaux élevés de décibels A peut entraîner des problèmes auditifs, des troubles du sommeil, du stress, des problèmes de concentration et même des dommages permanents à l’ouïe.

Il est crucial de surveiller les niveaux de DBA, en particulier dans les environnements où le bruit est prévalu, tels que les lieux de travail, ou les installations industrielles. Des mesures de réduction du bruit et de protection auditive peuvent être mises en place pour minimiser les effets néfastes du bruit sur la santé des individus.

Il est également important de sensibiliser à l’impact du bruit excessif et de promouvoir des pratiques visant à réduire la pollution sonore, afin de préserver un environnement sonore sain et agréable pour tous.

Les ug/m3

Les µg/m³ (microgrammes par mètre cube) sont une unité de mesure utilisée pour exprimer la concentration d’une substance dans l’air. Un microgramme équivaut à un millionième de gramme, ce qui représente une quantité extrêmement légère.

Les µg/m³ sont une mesure précise et couramment utilisée pour évaluer la qualité de l’air et déterminer s’il est pollué ou non. Cette unité permet de quantifier la présence de diverses substances telles que les polluants atmosphériques, les particules fines, les allergènes et autres composés chimiques dans l’air ambiant.

La surveillance des µg/m³ est essentielle pour comprendre les niveaux de pollution de l’air et évaluer leurs effets potentiels sur la santé humaine et l’environnement. Des niveaux élevés de microgrammes par mètre cube peuvent avoir des conséquences néfastes, notamment des problèmes respiratoires, des allergies, des maladies cardiovasculaires et d’autres impacts sur la santé.

Il est important de suivre régulièrement les niveaux de µg/m³ et de prendre des mesures appropriées pour réduire la pollution de l’air, la promotion de sources d’énergie propres, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur et la sensibilisation à l’importance de préserver un air sain.

La compréhension des µg/m³ permet de mieux évaluer les risques potentiels liés à la pollution de l’air et d’adopter des mesures de prévention et d’atténuation adéquates pour préserver notre santé et notre environnement.

La luminosité relative :

La luminosité relative compare la luminosité de deux objets et peut avoir un impact sur le confort visuel et thermique. Un éclairage inadapté peut causer fatigue visuelle et maux de tête. La luminosité doit être adaptée à l’activité et aux besoins des occupants.

La luminosité relative peut également influencer le confort thermique en modifiant la perception de la chaleur ou du froid. Par exemple, une source lumineuse très brillante peut donner une sensation de chaleur.

De plus, la luminosité  dans l’air intérieur peut affecter la qualité de l’air en modifiant l’impact des polluants. Certains polluants peuvent être émis ou dégradés par la lumière, comme l’ozone qui peut être produit ou détruit par la lumière ultraviolette (UV).

Il est donc important de prendre en compte la luminosité relative pour assurer un confort visuel et thermique optimal, ainsi que pour comprendre son influence sur la qualité de l’air intérieur. Des mesures appropriées peuvent être prises pour équilibrer la luminosité et favoriser un environnement sain et confortable pour les occupants d’un bâtiment.

L’OMS :

L’OMS (Organisation mondiale de la santé) établit des valeurs limites pour les polluants de l’air tels que les particules fines, l’ozone, le dioxyde d’azote, le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre. Ces substances polluantes rendent l’air sale et dangereux. L’OMS recommande aux pays de réduire leurs émissions en adoptant des sources d’énergie propres, en améliorant les transports publics, en encourageant la plantation d’arbres et en évitant la combustion des déchets. De plus, l’OMS aide les pays à surveiller la qualité de l’air et à informer les populations des risques pour leur santé.

Le Taux des virus dans l’air :

Le taux de virus dans l’air représente la quantité de virus présente dans un volume donné. Par exemple, on peut mesurer 10 virus par litre d’air. Ce taux peut varier en fonction du lieu, du moment et des conditions environnementales. Il est généralement plus élevé dans des espaces clos où il y a une concentration importante de personnes toussant ou éternuant, ainsi que dans des environnements humides et chauds qui favorisent la survie des virus.

Les dispositifs de surveillance de la qualité de l’air peuvent détecter la présence de virus, évaluer leur quantité, ainsi que leur taille et leur forme. Ils peuvent également différencier les virus vivants des virus inactifs en utilisant des techniques telles que la fluorescence ou la PCR3.

La mesure du taux de virus dans l’air est utile pour évaluer la salubrité de l’air et prévenir les risques de transmission des maladies infectieuses. Ces informations sont précieuses pour mettre en place des mesures de protection efficaces, telles que le port du masque, la ventilation adéquate des espaces ou la désinfection appropriée. Il est important de surveiller en permanence le taux de virus dans l’air afin de prendre des mesures préventives appropriées et de maintenir un environnement sain et sécurisé.

Les systèmes de ventilation :

Les systèmes de ventilation sont des dispositifs essentiels pour assurer le renouvellement de l’air à l’intérieur des bâtiments. Ils jouent un rôle crucial dans l’évacuation de l’air pollué ou excessivement humide, tout en permettant l’entrée d’air frais et sain. Différents types de systèmes de ventilation sont disponibles, tels que les systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC) de type C et de type D.

Les systèmes de ventilation mécanique contrôlée de type C fonctionnent en extrayant l’air vicié des pièces humides, comme les salles de bains et les cuisines, et en l’évacuant directement vers l’extérieur à l’aide de ventilateurs. L’air frais pénètre ensuite dans le bâtiment par des entrées d’air situées dans les pièces principales, assurant ainsi un équilibre entre l’extraction et l’apport d’air.

Les systèmes de ventilation mécanique contrôlée de type D, également appelés récupérateurs de chaleur, vont plus loin en récupérant la chaleur de l’air extrait avant de l’évacuer à l’extérieur. Cette chaleur est ensuite transférée à l’air frais entrant, ce qui permet de préchauffer l’air et de réduire la consommation d’énergie nécessaire pour le chauffer.

Ces systèmes de ventilation contribuent à maintenir un environnement intérieur sain en éliminant les contaminants et en assurant un apport constant d’air frais. Ils permettent également de réaliser des économies d’énergie en récupérant la chaleur de l’air sortant. Le choix entre un système de ventilation de type C ou de type D dépend des besoins spécifiques du bâtiment et des préférences en matière d’efficacité énergétique. Il est recommandé de consulter un professionnel qualifié pour déterminer le système de ventilation le mieux adapté à chaque situation.

Les panneaux photovoltaïques :

Les panneaux photovoltaïques sont des dispositifs technologiques conçus pour convertir l’énergie solaire en électricité utilisable. Composés de cellules solaires, ils capturent les rayons du soleil et les transforment en courant électrique continu. Cette électricité peut être directement utilisée pour alimenter des appareils électriques, contribuant ainsi à réduire la dépendance aux sources d’énergie traditionnelles et à diminuer l’empreinte carbone.

Lorsque les panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité en excès par rapport aux besoins instantanés, cette énergie peut être envoyé sur le réseau ou bien stockée dans des batteries de stockage. Les batteries permettent de stocker l’électricité générée pendant les périodes d’ensoleillement et de la libérer lorsque les panneaux ne produisent pas suffisamment d’énergie, comme pendant la nuit ou par temps nuageux. Cela permet d’optimiser l’utilisation de l’énergie solaire et de maintenir un approvisionnement électrique constant.

Parallèlement, les systèmes de panneaux photovoltaïques peuvent être dotés de fonctionnalités de pilotage intelligent. Le pilotage intelligent consiste à surveiller en temps réel la production d’électricité des panneaux solaires, les besoins énergétiques du bâtiment et les conditions du réseau électrique. Grâce à ces informations, le système peut ajuster automatiquement la répartition de l’électricité produite, en l’acheminant vers les appareils électriques, vers les batteries de stockage ou vers le réseau électrique, selon les besoins et les contraintes du moment.

Cette gestion intelligente de l’énergie solaire permet d’optimiser l’autoconsommation, c’est-à-dire l’utilisation directe de l’électricité solaire produite sur place, et de maximiser l’efficacité globale du système. En intégrant des technologies de stockage et de pilotage, les panneaux photovoltaïques deviennent une solution plus complète et polyvalente pour la production d’énergie renouvelable.

Le Zéro Carbone :

Le Zéro Carbone, également connu sous le nom de Zéro Émission Nettes, est un objectif ambitieux visant à neutraliser les émissions de gaz à effet de serre. Ces gaz, tels que le dioxyde de carbone (CO2), contribuent au réchauffement climatique et aux changements climatiques. Ils sont principalement produits par les activités humaines, notamment la combustion de combustibles fossiles, l’agriculture intensive et l’industrie.

Pour atteindre le Zéro Carbone, il est nécessaire de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre. Cela implique de passer à des sources d’énergie propres et renouvelables, comme l’énergie solaire, éolienne et hydraulique, qui ne produisent pas de carbone lors de leur utilisation. De plus, il est essentiel de favoriser l’efficacité énergétique en utilisant des technologies et des pratiques qui permettent de consommer moins d’énergie tout en maintenant un niveau de confort et de productivité élevé.

Le reboisement et la préservation des forêts jouent également un rôle important dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les arbres absorbent le CO2 de l’atmosphère lors de la photosynthèse, aidant ainsi à réduire la concentration de gaz à effet de serre.

En outre, le recyclage des déchets et la gestion responsable des ressources contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre associées à la production de nouveaux matériaux.

L’adoption d’une approche Zéro Carbone est cruciale pour limiter les effets néfastes du changement climatique. Elle nécessite des actions concertées à tous les niveaux, des individus aux gouvernements, en passant par les entreprises et les communautés. En travaillant ensemble, il est possible de créer un avenir durable et résilient, tout en préservant notre planète pour les générations futures.

 

La transition énergétique :

La transition énergétique des bâtiments est un élément clé de la transition énergétique globale. Les bâtiments sont d’importants consommateurs d’énergie et émetteurs de gaz à effet de serre, mais ils offrent également de nombreuses opportunités pour améliorer leur efficacité énergétique et passer à des sources d’énergie renouvelables. Voici quelques actions à mener pour participer à la transition énergétique des bâtiments :

  • Amélioration de l’efficacité énergétique : Cela peut inclure l’isolation thermique des bâtiments, l’installation de fenêtres et de portes écoénergétiques, l’utilisation de systèmes de chauffage et de refroidissement efficaces, ainsi que l’optimisation de l’éclairage pour réduire la consommation d’énergie.
  • Utilisation d’énergies renouvelables : Installer des panneaux solaires photovoltaïques sur le toit des bâtiments ou utiliser des systèmes de chauffage solaire peuvent permettre de produire de l’énergie propre et renouvelable localement.
  • Mise en place de systèmes de récupération de chaleur : Les systèmes de récupération de chaleur permettent de récupérer et de réutiliser la chaleur générée par les activités quotidiennes, comme la ventilation ou les systèmes de refroidissement, afin de réduire la consommation d’énergie.
  • Gestion intelligente de l’énergie : L’utilisation de systèmes de gestion de l’énergie permet de surveiller et d’optimiser la consommation d’énergie des bâtiments en fonction des besoins réels. Cela peut inclure l’automatisation des équipements et l’utilisation de capteurs pour ajuster la consommation d’énergie en temps réel.
  • Sensibilisation et éducation : Informer les occupants des bâtiments sur les enjeux de la transition énergétique, les avantages des mesures d’efficacité énergétique et l’utilisation des énergies renouvelables peut encourager leur participation et leur engagement.

En participant à ces actions, les bâtiments peuvent devenir plus durables, réduire leur empreinte carbone et contribuer à la lutte contre le changement climatique.

Use case :

Une use case (étude de cas) chez Airthings est un exemple concret d’utilisation du produit Space Pro, qui propose des solutions de mesure et d’amélioration de la qualité de l’air intérieur. Elle permet de démontrer les bénéfices et les avantages de la solution d’Airthings en l’installant chez un client final. Cette étude de cas vise à contrôler la qualité de l’air intérieur sur une période donnée afin de tirer des conclusions sur la qualité de l’air dans cet environnement spécifique.

L’objectif d’une use case est de mettre en évidence les résultats obtenus en termes de surveillance de la qualité de l’air, d’identification des problèmes potentiels et de proposition de solutions pour améliorer la qualité de l’air intérieur. Elle permet de démontrer comment le produit Space Pro peut contribuer à créer un environnement intérieur sain, en surveillant et en analysant en temps réel les paramètres clés tels que les niveaux de CO2, les composés organiques volatils (COV), l’humidité, la température, etc.

Grâce à une Use case, les utilisateurs peuvent visualiser les données recueillies par les capteurs d’Air-Things, comprendre l’impact de la qualité de l’air sur leur santé et leur bien-être, et prendre des mesures proactives pour améliorer l’environnement intérieur. Les conclusions et les recommandations tirées de l’étude de cas peuvent aider les clients à prendre des décisions éclairées concernant les actions à entreprendre pour optimiser la qualité de l’air dans leurs locaux.

En résumé, les use cases d’Air-Things démontrent comment le produit Space Pro peut être appliqué avec succès dans divers environnements, en offrant une surveillance continue de la qualité de l’air intérieur et des solutions pour créer des espaces de vie et de travail plus sains et plus confortables.

 L’ozone :

L’ozone est un gaz présent dans l’atmosphère. Son effet peut être bénéfique ou néfaste en fonction de son emplacement. Lorsqu’il se trouve en haute altitude, il forme une couche qui protège la Terre des rayons du soleil nocifs pour la peau et les yeux. En revanche, lorsque l’ozone est proche du sol, il devient un polluant pouvant avoir des effets néfastes sur la santé humaine et animale.

La présence d’ozone dans l’air peut rendre la respiration difficile, notamment chez les enfants, les personnes âgées ou celles souffrant de problèmes pulmonaires ou d’asthme. L’ozone peut irriter la gorge, provoquer des toux, des douleurs thoraciques et réduire la capacité pulmonaire. De plus, il peut rendre les poumons plus sensibles aux microbes et aux toxines, augmentant ainsi le risque d’infections et de maladies.

Il est donc important de surveiller les niveaux d’ozone dans l’air et de prendre des mesures pour réduire son impact négatif. Cela peut inclure des efforts visant à limiter les émissions de polluants précurseurs de l’ozone, tels que les oxydes d’azote et les composés organiques volatils, qui réagissent en présence de rayons solaires pour former de l’ozone. De plus, il est essentiel d’informer le public sur les risques liés à ce gaz et de promouvoir des mesures de protection, telles que limiter les activités en plein air pendant les périodes de forte concentration.

Le monoxyde de Carbone :

Le monoxyde de carbone est un gaz potentiellement dangereux pour la santé. Il se forme lors de la combustion et est indétectable et inodore. Il est donc essentiel d’utiliser un appareil de détection de la qualité de l’air intérieur pour réagir rapidement en cas de présence de monoxyde de carbone. En cas de détection, il est important de quitter immédiatement la pièce contaminée, d’aérer et de prendre les mesures nécessaires pour éliminer la source de monoxyde de carbone.

La mesure du taux de monoxyde de carbone est souvent incluse dans les mesures des composés organiques volatils (COV), qui sont également des polluants courants dans l’air intérieur. Les COV sont émis par de nombreux produits et matériaux de la vie quotidienne. Il est important de maintenir leurs niveau bas  dans l’air intérieur afin de préserver la qualité de l’air et de protéger la santé des occupants. L’utilisation d’appareils de surveillance de la qualité de l’air intérieur peut aider à détecter et à contrôler les niveaux de monoxyde de carbone et de COV, contribuant ainsi à maintenir un environnement intérieur sûr et sain.

Les pompes à chaleur :

Les pompes à chaleur sont des systèmes efficaces et polyvalents utilisés pour le chauffage et le refroidissement des espaces. Elles fonctionnent selon le principe de transfert de chaleur, similaire à celui d’un réfrigérateur ou d’un climatiseur, mais de manière inverse. Les pompes à chaleur offrent plusieurs avantages écologiques et économiques.

D’un point de vue écologique, les pompes à chaleur utilisent des sources d’énergie renouvelable pour extraire la chaleur de l’air, du sol ou de l’eau environnants. Elles peuvent exploiter la chaleur présente dans l’air extérieur même par temps froid. En utilisant cette énergie gratuite et abondante, les pompes à chaleur réduisent la dépendance aux combustibles fossiles et contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Du point de vue économique, les pompes à chaleur sont considérées comme des systèmes économes en énergie. Elles produisent plus de chaleur qu’elles n’en consomment d’électricité, ce qui les rend très efficaces. Bien que leur installation initiale puisse nécessiter un investissement plus important, les pompes à chaleur permettent de réaliser des économies sur les coûts de chauffage à long terme. Elles sont également éligibles à certaines aides et subventions gouvernementales pour encourager leur utilisation.

En résumé, les pompes à chaleur sont des solutions de chauffage et de refroidissement respectueuses de l’environnement et économiques. Elles exploitent les sources d’énergie renouvelable pour assurer le confort thermique des bâtiments tout en réduisant l’impact environnemental et les coûts énergétiques.

L’isolation :

L’isolation des bâtiments joue un rôle essentiel pour les protéger à la fois des variations de température et des nuisances sonores. En utilisant des matériaux spécifiques, l’isolation limite les transferts de chaleur à travers les murs, les fenêtres, les portes et le toit. Les avantages de l’isolation sont multiples :

  • Maintien d’une température confortable à l’intérieur : Une bonne isolation permet de maintenir une température agréable toute l’année, en empêchant les pertes de chaleur en hiver et les infiltrations de chaleur en été. Cela crée un environnement intérieur confortable, sans les variations extrêmes de température.
  • Réduction de la consommation d’énergie : En limitant les échanges thermiques avec l’extérieur, l’isolation réduit la nécessité d’utiliser des appareils de chauffage ou de climatisation de manière intensive. Cela se traduit par des économies d’énergie substantielles, réduisant ainsi les factures d’énergie et l’empreinte environnementale associée.
  • En conclusion, l’isolation des bâtiments offre des avantages significatifs en termes de confort thermique, d’économies d’énergie et de réduction des nuisances sonores. En investissant dans une isolation adéquate, il est possible de créer un environnement intérieur agréable, tout en contribuant à la préservation de l’environnement et à la réduction des dépenses énergétiques

L’étanchéité à l’air d’un bâtiment :

L’étanchéité à l’air d’un bâtiment consiste à le protéger des infiltrations et des exfiltrations d’air indésirables à travers des fissures ou des ouvertures involontaires dans son enveloppe. L’enveloppe comprend les murs, le toit et les fenêtres, qui séparent l’intérieur de l’extérieur. Les mouvements d’air indésirables, appelés infiltration et exfiltration, sont causés par des variations de pression entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment, résultant du vent, des cheminées ou des systèmes de ventilation mécanique.

L’étanchéité à l’air joue un rôle crucial pour éviter les problèmes tels que les pertes de chaleur, les courants d’air, la condensation ou les dommages structurels liés à l’air. Ainsi, il est primordial que les constructeurs choisissent soigneusement les matériaux d’étanchéité à l’air et les installent correctement.

Une enveloppe bien étanche à l’air présente plusieurs avantages :

  • Amélioration de l’efficacité énergétique : En réduisant les infiltrations d’air non contrôlées, l’étanchéité à l’air limite les pertes de chaleur en hiver et les gains de chaleur en été. Cela permet de réduire la consommation d’énergie nécessaire au chauffage et à la climatisation, ce qui entraîne des économies financières et une empreinte environnementale réduite.
  • Confort intérieur amélioré : En évitant les courants d’air, l’étanchéité à l’air contribue à maintenir une température constante à l’intérieur du bâtiment, offrant ainsi un confort thermique accru pour les occupants.
  • Prévention des problèmes d’humidité : En empêchant l’air humide de pénétrer dans les parties structurelles du bâtiment, une bonne étanchéité à l’air limite la condensation, réduisant ainsi les risques de moisissures, de pourriture du bois et de détérioration des matériaux.

En somme, une enveloppe bien étanche à l’air offre des avantages importants en termes d’efficacité énergétique, de confort intérieur et de prévention des problèmes d’humidité. Il est donc crucial de prendre en compte l’étanchéité à l’air dès la conception et la construction du bâtiment, en accordant une attention particulière aux matériaux et aux techniques d’installation.

L’enveloppe d’un bâtiment :

L’enveloppe d’un bâtiment désigne l’ensemble des éléments qui séparent l’intérieur du bâtiment de l’extérieur, tels que les murs, le toit, les fenêtres et les portes. L’enveloppe d’un bâtiment remplit plusieurs fonctions essentielles :

  • Rôle structurel : Elle offre un soutien structurel au bâtiment, lui conférant solidité et stabilité face aux contraintes extérieures telles que les charges verticales et horizontales.
  • Contrôle des échanges : Elle assure le contrôle des échanges entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment, que ce soit pour l’eau, l’air, la chaleur ou le bruit. Une enveloppe bien conçue et étanche permet de maintenir des conditions intérieures confortables et de prévenir les infiltrations indésirables.
  • Isolation thermique : L’enveloppe joue un rôle clé dans l’isolation thermique du bâtiment, en limitant les transferts de chaleur entre l’intérieur et l’extérieur. Cela contribue à réduire les besoins de chauffage en hiver et de climatisation en été, améliorant ainsi l’efficacité énergétique et le confort des occupants.
  • Protection contre les intempéries : Elle offre une protection contre les intempéries telles que la pluie, le vent, la neige et le soleil, préservant ainsi la durabilité et l’intégrité du bâtiment à long terme.
  • Contrôle acoustique : L’enveloppe contribue également à la réduction des bruits extérieurs, en fournissant une isolation acoustique adéquate pour préserver un environnement intérieur calme et paisible.

En résumé, l’enveloppe d’un bâtiment remplit des fonctions cruciales en assurant la stabilité structurelle, le contrôle des échanges, l’isolation thermique, la protection contre les intempéries et le contrôle acoustique. Une conception et une construction soignées de l’enveloppe sont essentielles pour garantir des performances optimales en termes de confort, d’efficacité énergétique et de durabilité du bâtiment.

L’audit énergétique :

L’audit énergétique est une étude approfondie de la consommation d’énergie d’un bâtiment dans le but d’identifier des moyens d’économiser de l’énergie tout en maintenant le confort et le fonctionnement du bâtiment. Cet audit est particulièrement important dans le cadre de la Performance Energétique des Bâtiments (PEB) qui vise à améliorer l’efficacité énergétique des habitations. Voici quelques éléments supplémentaires sur la PEB et l’audit énergétique :

  • Performance Energétique des Bâtiments (PEB) : La PEB est une démarche visant à évaluer et à améliorer l’efficacité énergétique des habitations. Elle encourage la réduction de la consommation d’énergie, la diminution des émissions de gaz à effet de serre et la promotion des énergies renouvelables. L’audit énergétique est un outil clé utilisé dans le cadre de la PEB pour évaluer les performances énergétiques d’un bâtiment.
  • Identification des opportunités d’amélioration : L’audit énergétique permet de recueillir des données sur la consommation énergétique du bâtiment, d’identifier les principaux postes de consommation et de repérer les points faibles en termes d’efficacité énergétique. Sur la base des résultats de l’audit, des recommandations spécifiques sont formulées pour améliorer l’efficacité énergétique du bâtiment.
  • Mesures d’amélioration recommandées : Les recommandations issues de l’audit énergétique peuvent inclure diverses mesures pour réduire la consommation d’énergie et améliorer la performance du bâtiment. Cela peut impliquer l’installation d’une isolation supplémentaire, le remplacement de systèmes de chauffage ou de climatisation vétustes par des modèles plus performants et économes en énergie, l’optimisation des systèmes de ventilation, l’utilisation de sources d’énergie renouvelable, etc.
  • Analyse économique : L’audit énergétique tient également compte de l’aspect économique des mesures recommandées. Une analyse coût bénéfice est réalisée pour évaluer la rentabilité des investissements proposés. Cela permet aux propriétaires de prendre des décisions éclairées sur les actions à entreprendre en fonction de leur budget et des économies d’énergie potentielles.

L’audit énergétique est un outil essentiel dans le cadre de la PEB, permettant d’identifier les faiblesses énergétiques d’un bâtiment et de proposer des recommandations pour améliorer son efficacité énergétique. Cela contribue à réduire la consommation d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre et les coûts énergétiques, tout en améliorant le confort des occupants.

Prime Habitation :

La prime habitation en Wallonie est une aide financière accordée par la Région wallonne aux personnes souhaitant acquérir, construire ou rénover un logement. Cette aide vise à soutenir financièrement les particuliers dans leur projet immobilier en contribuant au paiement d’une partie du coût du logement ou des travaux. En Wallonie, il existe différents types de primes habitation, notamment :

  • La prime à la rénovation : Il s’agit d’une aide financière destinée à encourager la réalisation de travaux de rénovation dans un logement existant, visant à améliorer ses conditions d’habitabilité, de sécurité ou de performance énergétique.
  • La prime à l’économie d’énergie : Cette prime est octroyée aux propriétaires ou locataires qui entreprennent des travaux visant à réduire la consommation d’énergie de leur logement. Cela peut inclure l’isolation thermique, le remplacement de systèmes de chauffage inefficaces par des solutions plus économes en énergie, ou l’installation de panneaux solaires, par exemple.
  • D’autres primes spécifiques : En plus de ces deux principales primes, il existe d’autres incitations financières pour des projets spécifiques tels que l’installation de systèmes de récupération d’eau de pluie, la réalisation de travaux d’adaptation pour les personnes à mobilité réduite, ou encore la construction de logements basse énergie ou passifs.

Prime énergie :

La prime énergie en Wallonie est une aide financière octroyée par la Région wallonne aux personnes souhaitant effectuer des travaux visant à réduire la consommation énergétique de leur logement. Cette aide permet de couvrir une partie des coûts des travaux engagés. En Wallonie, il existe plusieurs types de primes énergie, notamment :

  • La prime à l’isolation : Il s’agit d’une aide financière destinée à encourager l’isolation du toit, des murs et du sol du logement, contribuant ainsi à réduire les pertes de chaleur et les besoins en chauffage.
  • La prime à la ventilation : Cette prime vise à soutenir l’installation d’un système de ventilation mécanique contrôlée, favorisant une meilleure qualité de l’air intérieur et une maîtrise des déperditions thermiques.
  • La prime au chauffage : Cette aide est accordée pour le remplacement d’un système de chauffage existant par un dispositif plus performant ou plus respectueux de l’environnement, favorisant ainsi des économies d’énergie.
  • La prime à l’électricité : Cette prime concerne l’installation de panneaux photovoltaïques ou d’une éolienne domestique, permettant la production d’énergie renouvelable pour l’autoconsommation ou la revente au réseau électrique.
  • La prime à l’audit énergétique : Cette aide vise à soutenir l’analyse de la consommation énergétique d’un logement par un expert, fournissant des recommandations pour améliorer son efficacité énergétique. Il est important de se renseigner auprès des autorités compétentes pour connaître les critères d’éligibilité, les montants et les démarches à suivre afin de bénéficier de ces différentes primes énergies en Wallonie.

Affectation d’un bâtiment :

L’affectation d’un bâtiment définit son utilisation spécifique, et en fonction de cette affectation, il existe des règles spécifiques concernant la qualité de l’air intérieur. Par exemple :

  • Pour les bâtiments résidentiels, des normes sont établies pour garantir un niveau de qualité de l’air qui favorise la santé et le bien-être des occupants, en contrôlant notamment les niveaux de CO2, les polluants atmosphériques et en assurant une ventilation adéquate.
  • Pour les bâtiments commerciaux, des exigences sont en place pour maintenir une qualité de l’air saine et confortable pour les employés et les clients. Cela peut impliquer la surveillance des polluants intérieurs, l’installation de systèmes de ventilation efficaces et la conformité aux normes de qualité de l’air en milieu de travail.
  • Dans les établissements de santé, tels que les hôpitaux et les cliniques, des protocoles stricts sont suivis pour prévenir la propagation des infections et maintenir un environnement sain pour les patients, le personnel et les visiteurs. Cela peut inclure des mesures de contrôle de la qualité de l’air, la filtration de l’air, la gestion des agents pathogènes et la mise en œuvre de procédures de nettoyage adéquates.
  • Pour les bâtiments scolaires, des directives sont en place pour assurer un environnement propice à l’apprentissage en maintenant une qualité de l’air optimale. Cela peut comprendre des systèmes de ventilation efficaces, la gestion des moisissures et la surveillance des niveaux de CO2 pour garantir une concentration et une performance optimales des élèves.

Chaque type d’affectation de bâtiment a ses propres réglementations et recommandations spécifiques en matière de qualité de l’air intérieur, qui sont conçues pour préserver la santé, le confort et le bien-être des occupants. Il est important de se conformer à ces règles pour maintenir un environnement intérieur sûr et sain.

Label Well :

Le label WELL offre de nombreux avantages aux bâtiments qui en bénéficient :

  • Amélioration de la santé et du bien-être des occupants : Le label WELL met l’accent sur la santé et le bien-être des occupants en évaluant et en améliorant la qualité de l’air, de l’eau, de la lumière, du confort thermique, du son, etc. Cela contribue à créer un environnement intérieur sain, propice à la productivité, à la concentration et au bien-être général.
  • Qualité de l’air intérieur optimale : Le niveau qualité d’air du label WELL se concentre spécifiquement sur la qualité de l’air intérieur. En intégrant des systèmes de ventilation et de filtration de l’air efficaces, il garantit une meilleure qualité de l’air dans le bâtiment, réduisant ainsi les risques liés à la pollution de l’air intérieur.
  • Réduction des problèmes de santé : En assurant une bonne qualité de l’air, le label WELL contribue à réduire les problèmes de santé liés à la mauvaise qualité de l’air intérieur, tels que les allergies, les troubles respiratoires et les irritations.
  • Augmentation de la productivité et de la satisfaction des occupants : Un environnement intérieur sain et confortable a un impact positif sur la productivité, la concentration et la satisfaction des occupants. En répondant aux critères du label WELL, les bâtiments favorisent un meilleur confort et un environnement de travail propice au bien-être.

En choisissant un système de certification tel que le label WELL, les propriétaires et les occupants bénéficient d’un environnement intérieur sain, confortable et favorable à la santé et au bien-être. Cela contribue à une meilleure qualité de vie et à des performances accrues dans les espaces de vie et de travail.

Le Label Reset :

Le label RESET offre de nombreux avantages aux bâtiments qui utilisent un système agréé RESET :

  • Surveillance continue de la qualité de l’air intérieur : Le label RESET exige des mesures en continu de plusieurs paramètres clés tels que la température, l’humidité, le CO2, les particules fines et les COV dans l’air. Cela permet une surveillance en temps réel de la qualité de l’air intérieur, assurant ainsi un environnement sain et confortable pour les occupants.
  • Identification rapide des problèmes de qualité de l’air : Grâce à la surveillance continue, les systèmes agréés RESET sont capables de détecter rapidement les problèmes de qualité de l’air tels que des niveaux élevés de CO2 ou de particules fines. Cela permet aux gestionnaires de bâtiments d’agir rapidement pour résoudre les problèmes et maintenir une bonne qualité de l’air intérieur.
  • Amélioration de la santé et du bien-être des occupants : En surveillant et en contrôlant les paramètres clés de la qualité de l’air intérieur, le label RESET contribue à la création d’un environnement intérieur sain. Cela peut réduire les risques pour la santé liés à la mauvaise qualité de l’air, tels que les problèmes respiratoires, les allergies et les troubles de la concentration.
  • Optimisation de la performance énergétique : Les systèmes agréés RESET aident à optimiser la performance énergétique des bâtiments en ajustant les systèmes de ventilation en fonction des besoins réels en qualité de l’air intérieur. Cela permet de réduire la consommation d’énergie liée à la ventilation tout en maintenant une qualité de l’air optimale.

En utilisant un système agréé RESET et en obtenant la certification correspondante, les propriétaires et les occupants bénéficient d’un environnement intérieur sain, confortable et de haute qualité. Cela favorise la santé, le bien-être et la productivité des occupants, tout en démontrant l’engagement envers la durabilité et la qualité de l’air intérieur.